Un acrostiche relevé au fil des pages

              La musique adoucie les mœurs
   
   

Le seul langage connu sur tout notre univers,

Avec le chaud, le froid, je vous l’explique en vers.

 

Mozart, Schubert, Ravel, ces grands compositeurs,

Unis par le même don, nous ont émerveillés.

Sans être connaisseurs, ils nous laissent rêveurs,

 Ils nous ont subjugués, la ‘’Truite’’ nous a comblés.

Que penser, je demande, des ‘’Noces de Figaro’’ ?

Un opéra bien sûr, mais d’une telle beauté,

Et pour la symphonie, que dire du ‘’Boléro’’ ?

 

Auteurs, orchestrateurs, vous combinez les sons.

Dans nos oreilles avides, ces derniers nous arrivent.

Ouïe, sens si merveilleux, entend le diapason,

Un ‘’la’’ est bien capté, les autres notes suivent.

Ce sont les mélomanes qui apprécient le mieux.

Ils y a tous les autres, que la musique captive,

Tant de joie, de douceur, peut se lire dans leurs yeux.

 

Le repos bienvenu que ces notes nous procure,

Est un havre de paix, une joie émotive,

Sitôt les airs émis, et c’est la sinécure.

 

Ma conclusion est donc, si vous le voulez bien :

Oublions les querelles, rêvons aux musiciens,

En sachant écouter tout ce qu’ils font de beau.

Un peu d’humilité, pas d’outrages verbaux.

Rions sur cette terre, le passage est si court

Soyons tous des copains, que l’amitié accoure…